Présentation
la transmission ce n’est pas qu’une histoire de chaine et de pignon
Pouquoi choisir Supdevélo ?
Un premier constat : le manque de formation dans les métiers de la vente cycle. Actuellement, pour se lancer dans le commerce de cycle, il n’existe pas pléthore de formations pour se garantir un savoir-faire solide et conséquent. La voie la plus connue actuellement passe par le CNPC (Centre National Professionnel pour la Commercialisation des articles de sport et loisir), la plus “ importante école de Commerce du sport en Europe ”, qui dispense une formation connue et reconnue. Le tout débouche sur un diplôme : le certificat de qualification professionnelle (CQP). Une fois cela en poche, les diplômés recherchent à accéder au monde du travail.
Face à ce constat, il suffit de se tourner vers la demande pour comprendre la vraie carence, notamment sur le plan de l’expérience. Bien souvent la sensation est de sortir de la formation avec une réelle connaissance théorique, mais pas forcément pratique. Un manquement qui malheureusement peut faire défaut lors de l’embauche, où l’on favorise le chevronné au novice. Sup de Vélo: L’École des Métiers des Vélos propose une formation dans cette logique, pour répondre à la fois à une demande sur le marché du travail, mais aussi des magasins souhaitant une main d’oeuvre formée et performante.
Formé par des professionnels pour des professionnels !
Sup de Vélo est unique dans le monde du cycle, nous dispensons essentiellement des formations pour les magasins de cycle (traditionnels, grande surface multisport, association… : Nous formons des managers, les vendeurs et les techniciens.
Que ce soit en formule continue ou dans le cursus titre à finalité professionnelle, l’école permet à chacun de trouver un savoir à sa mesure.
Quoi de mieux pour garantir des connaissances en adéquation avec la réalité du terrain que de confier certaines formations à des professionnels, à des marques qui ont pignon sur rue. L’école s’offre donc le luxe de proposer des intervenants maîtrisant parfaitement le sujet, que ce soit dans la gestion (intervention d’un expert-comptable), dans la nutrition (intervention de marques) ou encore l’atelier (intervention de marques). Matthias Costes, directeur de Sup de Vélo justifie ce choix : “ Le commerce cycle demande un apport technique important que peuvent apporter directement les marques. Nous sommes allés chercher des spécialistes car c’est notre mission : former du personnel compétent, réactif et aguerri aux techniques de vente, à l’atelier. Nous avons concentré un maximum de savoir-faire, de compétences dans le monde du vélo pour monter cette école unique dans le milieu ! ”. Un atout de taille, mais pas uniquement…
S’appuyer sur les réseaux de magasins pour une immersion et une future embauche
Soyons réaliste, à l’heure actuelle, la Centrale Cyclelab représente près de 130 magasins. De quoi attirer du monde, qualifié ou pas. Avec le jumelage des trois réseaux et la formation, un emploi peut être rapidement trouvé au terme du cursus. Sans être une garantie, cela représente une motivation non négligeable, dans un milieu où les portes d’entrée sont rares. Ainsi est-il fort à parier que l’École devrait rapidement trouver de nombreux candidats pour remplir les bancs, avant de pourquoi pas, gonfler les effectifs des magasins Culture Vélo, Bouticycle et Vélo Station.
Sup de vélo c’est…
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Taux de réussite
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